Boukhara ́ (Buxoro en ouzbek) – une des villes les plus anciennes de l’Ouzbékistan. Le centre dela region de Boukhara. La couche culturelle sur le territoire de la ville fait plus de 20 m. Notamment sur une telle profondeur les archéologues ont découvert les restes des bâtiments prives et publics, la vaisselle et les pièces, les outils et les bijouteries, qui sont datées de IV siècle jusqu’à notre ere. La légende enonce que le fondateur de la ville est Afrosiyob.
L’âge de Boukhara excède 2500 ans. Dans l’antiquite elle faisait partie d’un des etats de l’Asie centrale -la Sogdian, où déjà au temps d’Alexandre macedonien on développait la structure urbaniste.
Non loin de la ville s’installait la cite antique de Varahsha , connu par les magnifiques peintures murales présentant les scènes de la chasse aux leopards. Le centre de Boukhara est la forteresse Аrk, où résidaient les rois et leurs familles. Après ses murs il y avait proprement une ville – «chakhristan». Il était entouré des faubourgs commerciaux d’artisans – «rabad». Boukhara etait transite par la Grande Route de la soie. Il y avait plus de 60 caravans sérails, où s’installaient les marchands de l’Inde, la Chine, l’Iran et d’autres pays.
Dès le II e siècle avant notre ère jusqu’à III e siècle de notre ère Boukhara faisait partie de l’etat – Kangyu. Au V e siècle – dans l’Etat Eftalit. De VI e au début de VII siècle – s’integre dans le Khanat Turk Occidental.
Apres l’arrivée des Arabes au VII e siècle à Boukhara s’est répandu l’Islam. Depuis ce temps-là on a commence à ériger les mosquées et les minarets, la médersa et les ensembles de culte. Plus de mille ans on est ebloui de la beauté, l’irréprochabilité des proportions et le projet génial du mausolée Samanid. Les ensembles architecturaux Poi Kalon, Labi khauz , Govkuchon et les autres sont les meilleurs modèles des créations des architectes médiévaux. À Boukhara s’est gardée aussi la multitude des habitats et les palais, les bains et les constructions commerciales. Le charme spécial emanent les ensembles architecturaux de campagne – Bakhouddin, Chor-Bakr, Tochmachit etc.
Cette ville surprenante ne dépassait pas les limites du rempart urbain construit à XVI siècle, et a contenu à lui-même plus de 200 médersas et la multitude de marchés, sur lesquelles on pouvait, sans exagération, acheter absolument tout. Marcher à un Vieux Boukhara fondé encore aux premiers siècles avant notre ère s’effectue littéralement par les monuments des civilisations anciennes.
L’aspect moderne la ville a acquis au temps des dynasties Cheybanid et Achtarkhanid aux XVI-XVIIe siècles ou étaient construits la plupart de ses mosquées étonnantes et les médersas, les caravans sérails et les bains, les remparts et les portes, ainsi que de grands ensembles architecturaux et les tombeaux. Jusqu’à nos jours se sont gardés les murs de l’ancienne citadelle, plus de 140 monuments architecturaux de l’époque musulmane (le minaret Poi-Kalon de XII siècle, les médersas Kukaldoch et Ulugbek XI-XVI e siècles, Labi-Khauz XVI-XVIIe siècles, le mausolée d’Ismail Samoni IX-X e siècles), les quartiers surprenants et les ruelles étroites de la vieille ville.
Dans les monuments gardés on observe nettement les lignes originales de l’école d’architecture locale témoignant de la maîtrise peu ordinaire des architectes de Boukhara.
Est un grand ouvrage de fortification de terre dans la partie de nord-ouest du Boukhara moderne. Dans le plan il rappelle le rectangle incorrect un peu tendu de l’ouest a l’est. L’Arc fait le périmètre des murs extérieurs 789,60 m., la place intérieure – 3,96 hectars. La hauteur du niveau de la place de Reghistan oscille de 16 à 20 mètres.
L’entrée de gala à la citadelle est encadrée par deux tours. La partie supérieure de la tour est jointe par la galerie et les terrasses. L’entree dans l’Ark représente la montée vers les portes situees en pente ou le sentier graduellement levant conduit dans le couloir couvert jusqu’a la mosquée Juma (voir). Le long du couloir on dispose les locaux pour les eau et le sable et les chambres pour les prisonniers.
À l’Ark on dispose un grand ensemble des bâtiments, parmi lesquels s’est gardée la mosquée Childuxtaron. On y lie la légende sur les quarante jeunes filles éreintées et jetées dans le puits.
La légende
La légende nationale appelle le créateur de la citadelle le héros épique Siyavush. Selon la légende, il était un beau jeune homme, caché à Тuran (le pays riche dressé dans l’oasis parmi le désert) de la poursuite de la belle – mère. Siyovuch et la fille du régnant local Afrosiab ont aimé l’un l’autre. Mais le père rusé a posé la condition pour la main de la princesse que Siyavuch construise le palais sur le terrain se plaçant sur la peau du boeuf. Mais Siyovuch s’est averé encore plus rusé. Il a coupé la peau aux fils fines, a rabouté ensemble et à l’intérieur de cette frontière a construit le palais.
L’histoire
La citadelle est construite sur les restes des couches du début de notre ère de vingt metres de profondeur. Аrk était détruit plus d’une fois, mais puis était bâti de nouveau. Les premiers renseignements sur l’Ark (Kuhandis – comme il est mentionné dans les sources historiques) se trouvent dans «l’Histoire de Boukhara» d’Abubakr Narchaki (899-960). Narchaki, écrivait en particulier : « Le rois de Boukhara Bidun Bukhar Khudot a construit cette forteresse, mais elle est tombée en ruines bientôt. Combien de fois il construisait, il tombait en ruines autant ». On dit que quand le rois s’est adressé après le conseil des sages, ils lui ont conseillé de batir la forteresse sur les sept poteaux disposés comme les étoiles dans la constellation de la Grande Ourse. Construit ainsi, Аrk s’est tenu. L’âge de l’Ark n’est pas établi exactement, mais, en tout cas, mille cinq cents ans auparavant il était déjà la résidence des rois locaux. Ici, dans la citadelle bien protegee, vivaient non seulement les émirs, mais aussi leurs vizirs principaux, les chefs d’armée et de nombreux serviteurs.
En 1220, quand les troupes de Gengiskhan, se sont emparés de Boukhara, les citadins ont trouvé le refuge dans l’Ark, mais les conquérants ayant pénétré à Аrk, ont combatu les défenseurs, ont pillé les richesses et ont détruit la forteresse.
Aux moyens âges dans l’Ark travaillaient Rudaki, Firdavsi, Avicenne, Аl-Farabi, plus tard Omar Khayam. Ici se trouvait aussi la bibliothèque unique, qu’ Аvicenne decrivait : «j’ai trouvé dans cette bibliothèque autant de livres que je ne connaissait pas, ni jamais vu de ma vie. Je les ai lu, et la place de chaque savant dans la science m’est devenue clair. Devant moi se sont ouvertes les portes à telles profondeurs des connaissances, qui je ne devinais pas». Probablement, la bibliothèque était pillée pendant l’une des guerres.
Derniere destruction de l’Arc était apportée par les bolcheviks pendant le siège de Boukhara en 1920 sous le commandement de Mikhaïl Vasil’evicha Frunze (30.8.-2.9.1920). Sur son ordre Аrk a ete bombarde par avion. Dans le résultat la grande partie de la forteresse s’est transformée en chaos des ruines. UNe autre version dit que c’est l’émir Alimhan se sauvant à l’Afghanistan avec le trésor immense, avant l’évasion a ordonné de faire sauter Аrk pour que personne ne puisse bafouer au-dessus des endroits intimes come le harem particulièrement immense. Et réelement, le territoire du harem a souffert le plus fortement et selon les archéologues impossible a la reconstitution, puisque à présent représente un tas d’argile.
Une petite mosquée, qui se trouve dans la partie sud de la ville de Boukhara, à l’Ouzbékistan. La mosquée était construite au début de 16 siècles dans le riche quartier de Boukhara au centre de la ville. Le nom de la mosquée «Baland» signifie « haut ». À présent cette mosquée a l’âge plus de 500 ans et se rapporte à l’héritage universel de l’UNESCO.
La mosquée comprend deux parties – d’été et d’hiver. La partie d’hiver représente le bâtiment en forme de cube. Il est entouré et est ombragé d’aivan angulaire avec l’intérieur orné. Aivan est la mosquée d’été. Les colonnes d’aivan, les mosquées entourant la partie d’hiver, sont accomplies en forme des stalactites, sont faits en bois et situent en consolidations. Le plafond d’aivan et les colonnes datent du 19e siècle.
À l’intérieur du mur et mikhrab la mosquée est pourvue de la peinture aux dorures. La peintures des murs comprend la ligature subtile et l’ornement des fleurs et les plantes. Lambris de la mosquée possede le panneau en carreaux de hexaèdre emailles et dores. Le plafond de la mosquée est aussi intéressant : il est fait des planchettes ornées, ainsi que de petits dômes en bois.
L’ensemble de culte développé à un ancien centre des derviches de l’ordre Naqchbandi. Son chef , le cheik Bahauddin Nakshband, est mort en 1389 et était enterré près du village de Kasri Orifon (à présent la région de Kagan prés de Boukhara).
L’ensemble Bokhavuddin s’est adapte aux formes caractéristiques du XVIe. s. de la conception de la nécropole avec le bâtiment rituel; en 1544 le khan Abdalazizkhan I le tombeau du cheik a ete realise en manière de la crypte terrestre – dahma et l’enceinte de marbre sculptée au dessus, mais non loin – le plus grand des bâtiments connus – khanaka.
En distance de 12 km de la ville, cette place sacrée de l’Islam inspire effectivement beaucoup de gens. Les pèlerins jeune et vieux, l’homme, la femme, les enfants, en venant des places voisines et éloignées, se réunissent ensemble pour les bénédictions, les prières, l’accueil de la nourriture dans cette place de paix et tranquille. Le musée donne la possibilité de decouverte plus profond des aspects divers de l’histoire surprenante de l’Asie centrale.
Sur le chemin de la sortie du parc s’est gardé encore un Mausolée Chachmai-Ayub (c’est-à-dire «la source de Job»). C’est un monument complexe, plusieurs fois reconstruits au cours de XIV-XIX e.ss a pris la forme du prisme oblong, couronné de domes divers au-dessus des locaux de tailles différentes . La silhouette aiguë memorable lui est donne par le tambour cylindrique de double coupole conique, marquant ainsi le local principal avec la source.
La légende sur le monument est liée avec le prophète Job (Ayub), qui voyageait comme le prédicateur dans les terres de Boukhara. Pendant la sécheresse les gens locaux mourrant de la soif lui ont demandé de l’eau. Dès qu’il a frappé la terre avec son bâton, il y a jaillit une source curative, d’ou l’on peut boire toujours de l’eau fraiche.
Un de grands ensembles du centre de la ville de Boukhara – Khodja Govkuchon. Govkuchon- «tueur des boeufs – un boucher» . Jusqu’au XVIe. s. sur la place il y avait un abattoir. La médersa Govkuchon est construite en 1570 sur l’enfourchure des rues, qui explique sa forme trapézoïde sans perte du schéma traditionnel de cour. En 1598 au nord, ayant reculé des ruelles, le cheik Hodja Kalon Juybori a construit la mosquée de vendredi – juma, appelé «la Mosquée Khoja».
La médersa Juybori Kalon se trouve dans la ville de Boukhara en Ouzbékistan. La médersa est construit aux XV-XVII e. ss , comme la plupart des bâtiments historiques à Boukhara. Aux XVIII-XIX e. siècles la médersa etait l’une des medersa active de Boukhara. Encore aux XIX siècle de la médersa était utilisé comme l’école musulmane – les étudiants y venaient de tout Turkestan : des villes de Khiva, Samarkand, Tachkent, ainsi que des établissements tatars de la Russie. Actuellement la médersa est le monument architectural et fait partie de l’héritage universel de l’UNESCO.
Emplacement en ville
La médersa Juybori Kalon se trouve dans la partie du sud-ouest de la ville, près du parc. La médersa se trouve a l’intersection de trois rues : Juybor, Imam Gazoli Vali et Khauzi Nav. À côté de la médersa Juybori Kalon il y a encore quelques monuments architecturaux. Cette autre médersa Volidai Abdulazizkhan, l’ensemble architectural du Khalife Hudojdod et l’hôtel Olmos installé dans le bâtiment à un étage, construit à la façon de l’architecture de Boukhara.
L’histoire
En face de la médersa Nadir Divan Begi, au bord ouest du bassin Labi Khauz se refléte dans le miroir de l’eau la khanaka Nadir – Divan Begi (1619-1620) : une grande construction multi-salles avec la piece centrale surmontee d’une coupole (dimension du cube – 11,2 м), ayant les niches semi profond sur les cotes. Les angles du bâtiment possedent des cellulles.
Dans plusieurs sources est annoncé que le Nadir – Divan Begi était le dignitaire haut placé, le vizir, ainsi qu’il était l’oncle d’Imam Kuli-khan, c’est pourquoi il avait le pouvoir immense à Boukhara. Il a construit une grande médersa et une khanaka qui portent son nom. Le bassin centrale de l’ensemble Nadir – Divan Begi construit, s’appelle maintenant «Labi-khauz». La date approximative de la construction – 1620.
Labi-khauz
La plus grande piscine est devenue le noyau d’un autre ensemble du centre de Boukhara appelé Labi-khauz (Labi-khauz – au bord du bassin). Le bassin rectangulaire (46х36 м) s’etend de l’est vers l’ouest sous l’ombre des platanes séculaires. Ses bords sont régularisés en manière des marches degréssives faits des blocs massifs des roches calcaires jaunâtres. L’ensemble est formé de trois bâtiments monumentaux : la médersa Kukeldash(1568/69) – sur le nord, Khanaka à l’ouest et la médersa Nadir – Divan Begi – à l’est (1622/23).
La médersa Kukaldoch – une des curiosités les plus signifiantes architecturales du 16-ème siècle à Tachkent, l’Ouzbékistan. Le portail principal, la hauteur 19,7 m, conduit a la cour interieure bordee des foyers à un étage en manière des cellules – khujra. Chaque cellule comprend la pièce et la niche d’entrée – aivan. Deux ou trois étudiants partageait la pièce. Des tours (guldasta) aux angles du portail principal servaient muezzines ou azanchi, appellent les croyants a la priere (namaz).
Le portail était fortement détruit par les tremblements de terre de 1866 et 1886. Est restauré en 1950-60. Maintenant en cours des restaurations.
Un grand intérêt suscitent les remparts et les portes de Boukhara. La partie du mur urbain avec les brèches immenses – les monuments uniques de l’architecture de la défense de l’Asie centrale, un important groupe de la topographie historique de la ville. Comme l’auteur de «l’Histoire de Boukhara» Narchakhi (X s.) revele, les premiers remparts de Chakhristan étaient érigés encore à VIII siècle, pendant le regne des Takhiride.
Le territoire de la ville prospére s’est élargi beaucoup et était entourée dans les annees 849/50 par les nouvelles enceintes qui incluaient Ark et de chakhristan du debut de moyen age. Ces remparts délabrés ont etes consolides aux XIIe. s. par les nouvelles enceintes de brique crue sous le régne de Аrslan-khan (1102-1130).
Une nouvelle enceinte en brique cuite a ceint Boukhara à 1164/65 sous Мasoud Kilich Tamgach-khan. Les deux remparts détériorés, étaient restaurés au début de XIII s. (1207/08) sous khorezmchah Mouhammed, mais déjà en 1220 ils étaient détruits pendant l’invasion mongole des troupes de Genghizkhan-khan. Ensuite succede la période de l’abandon et la réduction du territoire de la ville.
Les manuscrits anciens témoignent de la renaissance de la ville déjà au milieu de XIII s., quand on érigeait deux grandes médersas – Мasoudiy et Khaniy. L’auteur de XV s. al – Bakuvi annonce les données sur deux anneaux des remparts de Boukhara : extérieur occupait le territoire de 12х12 farsakh (1 farsakh est égal a 6 km, c’est-à-dire 5184 км2), intérieur renfermait l’espace du noyau de l’Ark du bebut du moyen age, 1х1 farsakh (c’est-à-dire 36 км2). «… absents sur cet espace du terrain vide et les ruines».
L’anneau suivant des murs était érigé en 1540-1549 sous Abdalazizkhan et a embrassé les faubourgs urbains. Par les études sont établis les noms des onze portes urbaines, desquelles cinq s’installaient sur le territoire actuel.
Seulles les portes de la fin de XVIe. s. – Тalipach sur le nord et Karakul – sur le sud-ouest existent de nos jours. Les portes du sud Cheik Dzhalal ne sont pas conservees.
Lyabi Khaouz (de farsi «le bord ( litteralement: La lèvre) de bassin», ou «la côte de l’étang») ce nom du territoire, qui entoure un des étangs (bassins) qui se conservés jusqu’à nos jours à Boukhara. Jusqu’à l’établissement du pouvoir Soviétique ici il y avait beaucoup d’étangs semblables, qui servaient des sources de l’eau pour les citadins. Mais les étangs avaient mauvaise réputation, puisque ils sont les distributeurs des maladies. C’est pourquoi les bassins surtout étaient graduellement drainés pendant 1920 – 30. Lyabi Khaouz a survécu puisque il est le centre de l’ensemble architectural magnifique, qui était créé pendant 16 et 17 siècles, et qui n’a presque pas changé depuis ce temps-là. L’ensemble est formé par trois bâtiments monumentaux : la médersa Koukaldoch (1568/69) – le plus grand dans la ville – et les deux autres bâtiments religieux, construit par Nadir Devan Begui : Khanaka (1620) à l’ouest et les Médersas de Nadir Devan Begui (1622-1623) a l’est. La composition de l’ensemble comprende aussi le monument moderne de héros national Khodja Nasreddin.
Une petite médersa Kazi Kalian Nasreddin se trouvait (maintenant détruit) à côté de la médersa Koukaldoch..
L’histoire
L’histoire de cet ensemble est indissolublement liée au nom de Nadir Devan Begui, qui était le dignitaire haut placé, le vizir, ainsi qu’il était l’oncle de l’émir de Boukhara d’Imam Koulikhan. On dit que quand Nadir Devan Begui construisait Khanaka, nommé jusqu’à présent par son nom, à côté du chantier se trouvait une grande maison d’une juive veuve. Nodir Devan Begui a décidé que cette place, convient idéalement pour l’installation du bassin à la mosquée. Il s’est adressé à la veuve avec la proposition de vendre la cour pour n’importe quel bon prix. Mais la juive n’acceptait pas sans raison. Nodir Devan Begui alors la fait venir chez l’émir, étant sûr que celui-là la forcera à vendre sa maison. Mais Imam Koulikhan a remis la considération de cette question du collège de moufties. Les légistes musulmans ont pris la décision, interdisant d’enlever la cour à la juive par la force, car à leur avis les Juifs doivent jouir par tous les droits à l’égal des musulmans, parce qu’ils paient l’impôt «djouzya», pour le droit de la préservation de leur religion. Nadir Devan Begui se limiter avec l’installation du petit bassin, qui se trouvait vers la maison, où vivait la veuve peu conciliante.
Mais le haut dignitaire rusé a fait creuser le canal, pour le nouvel bassin ainsi qu’il passait directement sous les murs de la maison de la veuve, bien que la couche de canal dans cette place lui à couté tres cher. Dans un certain temps, quand l’eau a commencé à laver le fondement de la maison, la juive est venue vers Nadir Divan Beghi pour qu’il aille conscience. Sur quoi il a répondu que le môle sa proposition reste dans la force et il paiera maintenant à elle le coût de la maison, pourvu qu’elle accepte de le vendre. La veuve a répondu que l’argent ne lui est pas nécessaire et elle demande a sa place seulement le lopin de terre pour la construction de la synagogue. Nadir Divan Beghi a accepté sa proposition et a remis à la disposition de la femme, le lopin de terre se trouvant dans le quartier, à présent nommé « quetier juif » . On construisait bientôt la première synagogue à Boukhara et un grand bassin. Les gens ont commencé à l’appeler Lyabi Khaouz que signifie «près du bassin». La date approximative de la construction 1620. Mais parmi le peuple s’est gardée une autre épithète par rapport à l’ensemble donné : Khaouzi Bazour «construit avec la contrainte».
Magoki-Attari
On croit qu’avant la construction de la première synagogue les Juifs priaient dans le meme endroit que les musulmans. Cette mosquée s’appelait « Magoki Attori » que signifie «la Mosquée dans la fosse» («la mosquée Profonde»). Selon une version les Juifs priaient avec les musulmans au même temps, mais dans de différents coins. Selon l’autre – les Juifs venaient là-bas seulement au terme des prières des musulmans. Cela peuvent expliquer la coutume existant chez les Juifs de Boukhara, finir la prière de matin par les mots « Shalom aleykhem » («la Paix à vous»). Cette coutume manque chez les Juifs européens.
Sur la place de Magoki Attori jusqu’à la conquète arabe il y avait un marché, où on vendaient les idoles, les herbes médicinaux et les épices – at-toron; se trouvait au même endroit le temple de la Lune (Mokh). Dans la dernière rédaction de l’oeuvre Narchakhi, la mosquée construite sur la place du temple de la lune, s’appelle «Magok», c’est-à-dire «dans la fosse»; parce qu’elle déjà alors était à moitié enterree par les stratifications grandissant vite culturelles.
Les détails
Maintenant Labi-Khauz c’est le bassin rectangulaire (46х36 м) qui s’etend de l’est a l’ouest noyé sous l’ombre des platanes séculaires. Ses bords sont régularisés en manière des marches degréssives faits des blocs massifs des roches calcaires jaunâtres.
La médersa Kukaldoch confinant avec Labi-khauz – le plus grand (80х60m) et majestueuse en Asie centrale. Kulbaba Kukaldoch est le nom du demi-frère du khan, qui était le constructeur de la médersa.
La médersa de Nadir-Divan-Begi était concue d’abord comme le caravan sérail. Sur son inauguration l’Imam Kuli-khan a proclamé le bâtiment par erreur – comme la médersa, et Nadir -Divan-Begi devait rééquiper le caravan sérail, ayant rajoute a sa façade principale de la loggia, le portail et les tours angulaires, ainsi que surélever le premier étage des khudjras(cellulles).
Khanaka Nadir – Divan-Begi est situee en face des médersas, dans la partie occidentale de l’ensemble Labi-khauz.
Poi Kalon – au pied du Grand (ou le Géant) ou l’on peut traduire ce nom comme « un grand pied ». C est un ensemble architectural disposé au pied d’un grand minaret – Miorai Kalon. Poi Kalon est considere de juste titre l’ensemble architectural central de Boukhara, l’Ouzbékistan.
L’histoire
Comme le nom indique la partie dominante de l’ensemble est le minaret Kalon. L’ensemble donné se trouve dans la partie historique de la ville. La mosquée principale synodique de la ville situe dans le sud de l’Ark. A partir de 713 elle a ete construite plusieurs fois, détruite et reconstruite après les incendies et les guerres. Un de tels ensembles était érigé en 1121 sous le regne karakhanid Аrslankhan. La mosquée a brûlé pendant la mainmise de Boukhara par les hordes du Gengis-khan. De l’ensemble du XIIe. s. s’est gardé seulement le minaret majestueux d’Arslankhan, érigé en 1127 devant la principale façade de la mosquée. Selon la légende, le minaret avait l’ importance pratique. À l’antiquite il servait du phare pour des caravanes venant du désert a Boukhara .
Les particularités architecturales
Selon l’inscription enlacé en ornement sous la corniche de la lanterne du minaret Кalon est établi que sa construction était terminée en 1127. Sur la moitié de la hauteur du tronc on lit le nom du Аrslankhan. On découvre le nom du maître – Bako. Les autochtones croient que le maître était enterré parmi les maisons du quartier voisin. Bako a érigé le minaret au caractéristique de Maveraunnahr en manière de tronc circulaire de la tour en brique se rétrécissant vers le haut : son diamètre en bas – 9 m, au dessus – 6 м, la hauteur – 45,6 m. À l’intérieur de la tour se tord l’escalier en colimaçon en brique menant sur la rotonde – la lanterne s’appuyant sur des séries de la maçonnerie régularisée en manière de la corniche de stalactites – charafa.
La mosquée Kalon
La mosquée Kalon (Maschidi Kalon) construite probablement en 1514, est aussi grande selon l’échelle de celle de la mosquée Bibi Khanum de Samarkand. Au type unique du bâtiment les parties sont les oeuvres tout à fait diverses de l’art architectural. 208 colonnes servent comme support de la galerie multidomes (288 dômes) contournant la cour de la mosquée Кalon. L’axe longitudinal de la cour s’achève par le bâtiment a la coupole-portail de la la salle de mosquee cruciforme. Au-dessus s’élève le dôme bleu clair massif sur le tambour de mosaïque.
La médersa Miri Arabe
On sait peu sur la médersa Miri Arabe. La construction de la médersa Miri Arabe est liee au cheik Abdullahu Yemeni (de Yémen), maitre spirituel des premiers sheybanids. Dans la construction de la médersa il a mis les moyens d’Ubaydullakhan (1512-1533).
Le mausolée Samanid – est disposé au centre historique de Boukhara, dans le parc situe sur l’ancien cimetière. Le mausolée erige au IXe siècle (entre 892 et 943), est une des curiosités les plus révérées architecturales de l’Asie centrale.
Ici il y a une tombe d’Ismail Samani – le fondateur de la dynastie Samanid, la dernière dynastie Persane dirigeant en Asie centrale aux IX-Xe. siècles de notre ère. Bien que Samanid soient les régnants de Khorasan et de Maveraunnahr sous contrôle du califat Abbasid, ils ont établi bientôt l’indépendance complète par rapport a Bagdad.
Libéré de l’épaisseur de deux mètres des stratifications et entièrement restauré, il est accessible de nouveau à l’aperçu de quatre parties, comme primordialement et était conçu par son auteur.
Ce monument marque le début de la nouvelle époque dans le développement de l’architecture de l’Asie centrale renee après la conquète arabe. Il est évident que dans la terre antique continuaient à se développer les traditions anciennes de nouvelle qualité : la technique de la construction en brique cuite, ses possibilités constructives et d’art, les moyens de l’éloquence architecturale sont le mérite du nouveau temps, bien qu’elles portent «les signes» heritees de la culture preislamique.
La médersa Goziyon se trouve dans la ville de Boukhara à l’Ouzbékistan. La médersa est construit comme la plupart des bâtiments historiques à Boukhara aux XV-XVII e. siècles. Aux XVIII-XIXe. siècles la médersa etait l’une des medersa active de Boukhara . Encore au XIXe. siècle la médersa était utilisé comme l’école musulmane. Les étudiants y venaient de différentes villes. Maintenant le bâtiment de la médersa est le monument architectural et se rapporte à l’héritage universel de l’UNESCO.
La situation en ville
La médersa Goziyon se trouve au centre de la ville, dans un ancien quartier de Boukhara – Goziyon. La médersa se trouve a l’intersection des rues Juybor et Imom G’azoli Vali. À côté de la médersa il y a un ensemble architectural Khodja Gavkuchon et l’hôtel Hovli Poyon installé dans le bâtiment de XIX siècle.
Une grande mosquée de quartier à Boukhara – la mosquée, qui se trouve dans une vieille partie de la ville de Boukhara à l’Ouzbékistan. Elle est la mosquée synodique, ou autrement – jom’e. À présent la mosquée représente le monument architectural et culturel et se rapporte à l’héritage universel de l’UNESCO.
La structure et l’architecture
La mosquée est bâtie comme une grande mosquée de quartier et a les parties d’hiver et d’été. La partie d’hiver est la salle quadricolonne aux plusieures entrées. La partie d’été est aivan, entourant de de trois parties la salle d’hiver de la mosquée.
Les colonnes de la partie semi couverte (aivan) sont faites en bois en forme des stalactites et servent pour le soutien du plafond montees sur la fondement en pierre. Les colonnes en bois d’une des partie d’aivan sont accomplies spécialement – ils formeront l’entrée de gala à l’aivan et puis la mosquée d’hiver. La présentation de l’intérieur d’une manière caractéristique pour XIX – les débuts de XX siècles.
La disposition
Une grande mosquée de quartier se trouve à côté de la Citadelle Ark, mais l’aivan de la mosquée est vu tout de suite directement devant la sortie de la Citadelle Аrk.
L’histoire
En face de la médersa Nadir Divan Begi, au bord ouest du bassin Labi Khauz se refléte dans le miroir de l’eau la khanaka Nadir – Divan Begi (1619-1620) : une grande construction multi-salles avec la piece centrale surmontee d’une coupole (dimension du cube – 11,2 м), ayant les niches semi profond sur les cotes. Les angles du bâtiment possedent des cellulles.
Dans plusieurs sources est annoncé que le Nadir – Divan Begi était le dignitaire haut placé, le vizir, ainsi qu’il était l’oncle d’Imam Kuli-khan, c’est pourquoi il avait le pouvoir immense à Boukhara. Il a construit une grande médersa et une khanaka qui portent son nom. Le bassin centrale de l’ensemble Nadir – Divan Begi construit, s’appelle maintenant «Labi-khauz». La date approximative de la construction – 1620.
Un grand intérêt suscitent les remparts et les portes de Boukhara. La partie du mur urbain avec les brèches immenses – les monuments uniques de l’architecture de la défense de l’Asie centrale, un important groupe de la topographie historique de la ville. Comme l’auteur de «l’Histoire de Boukhara» Narchakhi (X s.) revele, les premiers remparts de Chakhristan étaient érigés encore à VIII siècle, pendant le regne des Takhiride.
Le territoire de la ville prospére s’est élargi beaucoup et était entourée dans les annees 849/50 par les nouvelles enceintes qui incluaient Ark et de chakhristan du debut de moyen age. Ces remparts délabrés ont etes consolides aux XIIe. s. par les nouvelles enceintes de brique crue sous le régne de Аrslan-khan (1102-1130).
Une nouvelle enceinte en brique cuite a ceint Boukhara à 1164/65 sous Мasoud Kilich Tamgach-khan. Les deux remparts détériorés, étaient restaurés au début de XIII s. (1207/08) sous khorezmchah Mouhammed, mais déjà en 1220 ils étaient détruits pendant l’invasion mongole des troupes de Genghizkhan-khan. Ensuite succede la période de l’abandon et la réduction du territoire de la ville.
Les manuscrits anciens témoignent de la renaissance de la ville déjà au milieu de XIII s., quand on érigeait deux grandes médersas – Мasoudiy et Khaniy. L’auteur de XV s. al – Bakuvi annonce les données sur deux anneaux des remparts de Boukhara : extérieur occupait le territoire de 12х12 farsakh (1 farsakh est égal a 6 km, c’est-à-dire 5184 км2), intérieur renfermait l’espace du noyau de l’Ark du bebut du moyen age, 1х1 farsakh (c’est-à-dire 36 км2). «… absents sur cet espace du terrain vide et les ruines».
L’anneau suivant des murs était érigé en 1540-1549 sous Abdalazizkhan et a embrassé les faubourgs urbains. Par les études sont établis les noms des onze portes urbaines, desquelles cinq s’installaient sur le territoire actuel.
Seulles les portes de la fin de XVIe. s. – Тalipach sur le nord et Karakul – sur le sud-ouest existent de nos jours. Les portes du sud Cheik Dzhalal ne sont pas conservees.
Les portes Talipach – une de deux portes conservées en vieille Boukhara. On dispose les portes sur le nord de la ville. À présent les portes ne ferment pas l’entrée de la ville, puisque la ville elle-même a grandi, et a entouré les portes depourvue des remparts.
Près de ces portes anciennes il y a un mausolée Chachmai Ayub, dans lequel les pèlerins adorent la mémoire du prophete Ayub (Saint Job). A cote il y a un marché local. Mais entre le marché et le mausolée sur le coin les vieillards et les invalides demandent l’aumône.
L’histoire
Les portes Talipach étaient construites sous le regne d’ Abdal-Aziz-khan I au milieu de 16 siècles et constituent la protection de la ville. Les chercheurs ont établi les noms des onze portes urbaines, desquelles cinq se trouvaient sur le terrain de la ville moderne. Les portes Talipach confinaient aux portes Chirgiron et les portes Imam.
Aussi d’autres portes de 16 siècles – les portes l’Astrakan disposé sur le sud-ouest de la ville ont survécu. Les portes Talipach et Karakul sont très fortement semblables entre eux-mêmes, il est tout à fait possible que les portes du tel type étaient la construction standard du Boukhara médiéval. Il y avait des portes au sud de la ville – ils s’appelaient le Cheik Jalal, on pouvait en voir les restes au 20 siècle, mais maintenant ils sont entièrement détruits.
La médersa Volidai Abdulazizkhan – se trouve a Boukhara. Le temps de la construction de la médersa – XV-XVII siècles. L’histoire de la création de la médersa est liée au nom du khan Abdulaziz (1647-1680), qui a créé une autre médersa à Boukhara – la Médersa Abdulazizkhan, qui est devenue son école supérieure personnelle.
Aux XVIII-XIX e. siècles la médersa Volidai Abdulazizkhan etait en fonction. À présent le bâtiment de la médersa est le monument architectural et figure a l’héritage universel de l’UNESCO.
Emplacement en ville
La médersa Goziyon se trouve dans la partie du sud-ouest de la ville, dans la zone de parc. La médersa se trouve sur l’intersection des rues Juybor et Muhammad Iqbol. Il y a encore une médersa Juybori Kalon.
La description et l’état moderne
Le bâtiment de la médersa est construit de la brique, a quelques entrées et est entouré d’aivan (les photos 1). Les colonnes d’aivan (piece semie couverte) sont accomplies en bois et sont ornés par la sculpture façonnée. Pour le soutien de la construction de la colonne sont affermis sur le fondement en béton. Aux angles de la médersa dispose des pieces munies des tours de guet.
La médersa Volidai Abdulazizkhan est le bâtiment à un étage. Le rez de chausse est l’essentiel – ou on dispose la plupart des pièces pour la tenue des cours. Le premier étage représente l’élévation, qui comprend la tour encadrée par un beau dôme bleu clair et l’arc.
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