Khiva de la langue Ouzbeke: Xiva, Xeva; de la langue russe : Хива; de la langue Persane : Khiveh; les noms Alternatifs ou historiques Khorasam, Khoresm, Khwarezm, Khwarizm, de la langue arabe : Khwarazm, Chiwa, et Khorezm – un ancien capital Khwarezmia et de Khanat de Khiva se trouve dans la partie moderne de Khorezm de l’Ouzbékistan. Itchan Kala à Khiva est la premiere ville de l’Ouzbékistan, qui sera inscrit dans la Liste de l’Héritage Mondiale (1991).
L’histoire
Pour l’histoire de Khanat de Khiva; voir : Khwarezmia
Au début de son histoire, les habitants de la region parlaient dans la langue Persane orientale dans la langue Khorezmien Khwarezmian.
La ville de Khiva d’abord était enregistrée par les voyageurs musulmans au 10-ème siècle, bien que les archéologues affirment que la ville existait au 6-ème siècle. Vers le début du 17-ème siècle, Khiva est devenue la capital de Khanat de Khiva, qui etait dirige la branche des rois Astrakhans, les dynasties Genghisid.
En 1873, le général russe Fon Kaoufman a attaqué la ville, Khiva est tombée le 28 mai 1873. Bien que l’Empire russe maintenant dirigait le Khanat de Khiva, cela a permis a Khiva de rester independant sous le protectorat Russe.
Après la confiscation Bolcheviste les pouvoirs après la Révolution d’octobre, la République de Khorezm Soviétique était créée au territoire du vieux Khanat Khiva, avant son ratachement en URSS en 1924, avec la ville de Khiva devenant la partie de la République Ouzbeke Soviétique Socialiste.
Les curiosités
Khiva se divise en deux parties. La ville extérieure appelée Dichan Kala, autrefois était protégée par le mur avec 11 portes. La ville intérieure, ou Itchan Kala, entouré par les murs en brique, les bases étaient construit au 10-ème siècle. Les murs crénelés modernes se rapportent au temps de la fin du 17-ème siècle et atteignent la hauteur de 10 mètres.
Une grande tour bleue au centre de la ville devait être le minaret, mais le Khan a compris que si le minaret sera achever que muezzin verra son harem, et verra les femmes du Khan. La construction de Minaret était arrêtée, et le minaret resté inachevé.
La vieille ville a conserve plus de 50 monuments historiques et 250 vieux bâtiments, qui date surtout de 18-ème ou les 19- siècles. La mosquée Djuma, par exemple, était établie au 10-ème siècle et restaurée en 1788-89, bien que sa salle célèbre hyporecherchée soit conservée encore 112 colonnes, pris dans les autres anciennes ville.
Les publications
Dichan Kala ( de l’ouzbek: Dichan Qala) – le nom de la ville « extérieure » de Khiva historique. À Khiva il y avait une division traditionnelle de la ville en deux parties isolées l’un de l’autre : la ville intérieure (Chahristan) – Ichan kala (littéralement : intramuros) et la ville extérieure (rabad) – Dichan Kala (extramuros). À la différence d’Ichan Kala qui gard l’aspect extérieur pratiquement entière, a l’extramuros il restent seulement certaines portes, en particulier les portes Koch Darvaza, dans 500 mètres de porte du nord d’ Ichan Kala(Bagcha Darvaza), ainsi que les portes Khazarasp Darvaza et Gandimyan Darvaza. Allakouli Khan a érigé extramuros en 1842 pour la protection contre les incursions des Yavmudes (un des tribus turkmènes). Selon le poète et interprète Agahi, Alakoulikhan a construit les murs du Dichan Kala en 3 années, ayant forcé tout les soumis à travailler jusqu’à 12 jours dans l’année gratuitement. Plus de 200 mille personne ont participé à la construction du mur. Les gabarits des remparts extérieur étaient les suivants : la longueur – 5650 m, la hauteur – 6-8 mètres, l’épaisseur près de 4-6 m. Il est intéressant de savoir d’où on aportait ainsi beaucoup d’argile pour la construction des murs. Les études ont montré que l’argile était obtenue dans deux kilomètres au nord de la ville, sur le territoire, nommé le Govuk Koul; aujourd’hui là ba, il y a un grand lac. Et aujourd’hui, comme autrefois l’argile locale la ba de la qualité excellente est utilisée toujours par les potiers modernes. La légende raconte que quand le prophète Mahomet construisait la Medine, on utilisait l’argile de ces places, et le lac apparu plus tard, il est considere comme sacré.
La structure et la destination fonctionnelle
Les remparts extérieurs et intérieurs étaient fabriqués du torchis (la brique séchée au soleil, la dimension 40х40х10 cm). Dans l’intervalle de temps on a consruit les tours de defence. Dans la partie supérieure des murs il y avait des rampes dentées avec les embrasures étroites, pour le tir sur l’ennemi pendant le siège. Dans le système des renforcements défensifs se trouvaient les fossé rempli de l’eau. Toutes les portes étaient fermées pour la nuit.
Les portes de la ville jouait aussi le rol protection. Par exemple on voit dans les portes conservées ont les tours « de choc » disposé sur les deux parties de passage, mais au-dessus des portes se trouvent aussi les galeries pour surveillé les alentours. Le passage après les arcs des portes en direction de la ville se couvrait du toit d’arc (Koy Darvaza) ou, si le couloir très long, par quelques dômes. Sur les cote des couloirs en général se trouvait les pièces en coupole, dans lesquelles vivaient les gardiens ou s’installait la douane, le juge, mais parfois la prison.
Dans les villes d’Orient, les portes et les entrées aux bâtiments publics et les maisons privées avaient toujours une grande importance : ellle etait impressionante, pour cela le plus grand honneur et la reconnaissance a la ville, aux bâtiments et leur auteur. C’est pourquoi les portes étaient et restent comme importante partie du decor urbain. Les portes étaient ornées de beaux carreaux multicolores et avec les verse du Coran. Parfois sur les portes écrivaient les textes, par exemple le louange au khan, ou les extraits des poèmes.
Les portes de Dichan Kala
Les murs de Dichn kala avaient 10 portes :
Gandimyan Darvaza (1842-1970)
S’appelés en l’honneur du village voisin, où en 1873 était signé l’accord de Gandimyan qui a fait le khanat de Khiva la partie de l’Empire russe. Les portes étaient démolies, et sur leur place on construit l’usine de nettoyage de coton. Les portes Gandimyan étaient entièrement restaurées en 1970 selon le vieux plans et les photos.
Khazarasp Darvaza(19 siècle)
Étaient bâtis de nouveau en 1842 avec le brique cuite à la construction des murs du Dichan kala pendant le le regne d’Alla Koulikhan. Les portes comprennent deux grand tours de garde se trouve sur les cotes d’un large passage sur le chemin vers Yanguiarik. Au-dessus du passage se trouve la galerie d’arc avec les rampes de deux côtés, le haut est orné par les créneaux. Bien que c’est le seul détail décoratif des portes, la construction fait de l’impression par l’éloquence des formes. Les portes liait Khiva aux localités de Yangiaryk, Bagat, Khanka et Khazarasp. Les dimensions: selon le plan 23,5х6,5 m; la hauteur : 12,2 m.
Koch Darvaza (1912)
Les portes du nord du Dichan Kala sur le chemin à Ourgentch, sont construites au début du 20-ème siècle. La façade a trois tours cylindriques, avec deux arc de passage entre eux et la galerie traditionnelle avec les rampes dentées. Les pièces de service sont disposées sur deux cote des passage. La façade principale des portes est ornée par la mosaïque sur les tours. De petits dômes des tours sont régularisés par le carreau bleu clair. Les dimencions: selon le plan : 25х17 m; la hauteur : 9,45 m.
Ichan kala de l’ouzbek: Ichan Qa’la; le nom, qui est convienu d’appeler la ville intérieure – Khiva qui se conserver jusqu’à nos jours (à l’Ouzbékistan), Érigé au cours des siècles (les monuments antiques de l’architecture se rapportent à 14 siècle) par les esclaves – la construction des palais, des mosquées et la médersa, les mausolées et les minarets, des caravans sérails et les bains sont transformé Ichan kala en ville musee, est devenu officiellement la ville musee dès 1968. Ichan Kala est reconnu comme l’héritage Universel de l’UNESCO en 1991.
La description des murs de la forteresse
À Khiva il y avait une division traditionnelle de la ville en deux parties isolées d’un de l’autre : la ville intérieure (Chakhristan) – Ichan kala littéralement : le cercle intérieur défensif) et la ville extérieure (rabad) -dichan kala (le cercle extérieur défensif). Les murs dIchan kala : 8-10 mètres – la hauteur; 6-8 mètres de l’épaisseur et 2250 mètres de longs selon le périmètre extérieur.
Les remparts exterieurs et intérieurs étaient fabriqués du torchis (la brique séchée au soleil, dimencion 40х40х10 cm). Dans tous les 30 mètres dans les murs d’Ichan Kala est érigé les tours rondes défensives qui depasse au-delà de murs. Dans la partie supérieure des murs il y a des rampes dentées avec les embrasures étroites, pour tirer sur l’ennemi pendant le siège.
Dans le système des renforcements défensifs se trouvaient des fossé, rempli de l’eau; même maintenant c’est considérable sur le relief dans la partie sud, mais sur le nord et l’ouest l’asphalte a fermé ancien fossé.
Les portes de la ville étaient aussi la partie du système protection. Par exemple dans les portes conservées on voit qu’ils ont des tours « de gard » disposé sur les deux parties du passage d’arc, mais au-dessus des portes se trouvent aussi les galeries pour surveille les alentours de Khiva. Le passage après les arcs des portes en ville se couvrait du toit d’arc (Koy darvaza) ou, si le couloir très long par quelques dômes.
La construction de la forteresse
En 1598, quand l’Amou-Daria orgueilleux a changé son cour, ayant laissé sans ressources d’eau la capitale de Khoresm Gourgandj, la capitale de l’Etat était transférée à un de d’anciennes villes de l’oasis de Khorezm – Khiva. Selon les données archéologiques, elle existait déjà à V – VI siècles, comme l’arrêt ou les caravans s’arreter au puits Kheyvak (Khiva – Kheva – Kheyvak), sur la voie ancienne de Merve à Gourgandj. À partir de cela, les archéologues croient que les restes de la fortification ancien autour du caravan sérail, date durant le cinquième siècle partiellement servaient commes les murs d’Ichan Kala..
Le puit Kheyvak se trouve aujourd’hui près du mur de nord-ouest d’Ichan Kala. À la réparation du puits, on découvrait les traces de la maçonnerie très ancienne et les restes de la construction en coupole. Les études ont montré que l’argile était obtenue dans deux kilomètres au nord de la ville, sur le territoire, nommé le Govuk Koul; aujourd’hui là ba, il y a un grand lac. Et aujourd’hui, comme autrefois l’argile locale la ba de la qualité excellente est utilisée toujours par les potiers modernes
Les légendes
La légende raconte que quand le prophète Mahomet construisait la Medine, on utilisait l’argile de ces places, et le lac apparu plus tard, il est considere comme sacré. Une autre légende raconte que l’eau de puits Kheyvak avait le goût surprenantle, et etait creuse par Sim le fils Noe.
La description de la ville
La ville ancienne est célèbre par la multitude de bâtiments historiques, la plupart des monuments étaient construits au 19 siècle et se sont conservés parfaitement jusqu’aujourd’hui. Ayant visité Khiva , on peut imaginer a quoi resemblait d’autres villes de l’Asie centrale dans le passé.
On peut acceder a la ville par les portes suivante : Du nord (Bagcha Darvaza), Sud (Tach Darvaza), Oriental (Palvan Darvaza), et Occidental (Ata Darvaza).
La ville intérieure Ichan Kala occupe la place moins d’un kilomètre carré, est étroitement bâtie, c’est pourquoi les curiosités de Khiva sont disposées d’une façon compacte, sur un petit territoire limité par les remparts. La plupart des visiteurs entre à la ville par les portes Occidentales (Ata Darvaza), à gauche de qui se trouve Kouhna Ark, une vieille citadelle, ses certaines parties date de cinquième siècle.
À droite des portes s’installe la Médersa Moukhamed Amin khan. Le minaret grandiose Kalta Minor se trouve un peu en avant. Approximativement dans 200 mètres, est plus proche vers le centre de la ville, se trouve la Médersa Moukhamed Rakhimkhan II.
Après eux, plus proche vers les portes orientales, se trouve le palais de Tach Khavli (19 siècle) et la médersa Alla Kouli Khan. En 5 minutes de marche, vers le sud du centre de la ville il y a un mausolée Said Allaouddin et le mausolée ravissant de Pakhlavan Makmoud, les médersas de Chergazi khan, ainsi que le minaret et la mosquée d’Islam Khodja.
Le revêtement de maïolique Khiva
Le revêtement de maïolique de Khiva a le style typique personnel, est accomplie essentiellement dans les tons atténués de sombre bleu jusqu’à bleu clair et blanc, parfois avec les traits de la couleur brune. Seulement un des dessins traditionnels géométriques de Boukhara et Samarkand – les étoiles à cinq branches dans le pentagone – étaient utilisées à Khiva. Les dessin typique de Khiva le plus souvent des motifs végétaux – le feuille de la vigne .
La gravure sur bois
La gravure sur bois un des aspects de l’art de Khoresm. On peut voir partout les colonnes frappantes en bois et les portes ornées par la sculpture.
La construction
Le minaret Kalta Minar était conçu comme le plus grand en Orient musulman (le diamètre de la fondation – 14.2 м). Selon le plan la hauteur du minaret était 70-80 mètres, mais le diamètre devait rudement diminuer avec la hauteur que ferait le minaret plus solide. Mais la construction s’est arrêtée à la hauteur de 29 m.
L’histoire
Selon l’historien de Khiva Munis, la construction n’était pas finie, à cause de la mort du khan en 1855. Mais la légende raconte ce que l’émir de Boukhara, ayant appris la construction du minaret unique à Khiva, a voulu construire le même à Boukhara, et a convenu avec le maître qu’il le fera, dès que finira le travail à Khiva. Le khan de Khiva, ayant appris cela, a donné l’ordre tuer le maître à la fois après qu’il finira la construction. Et cette nouvelle est arrivée au maître, et il s’est enfui, ayant laissé le minaret inachevé.
Les particularités
Le minaret est connu notamment grâce à sa l’inachèvement, mais aussi grâce au décor unique (Kalta Minor – le seul minaret entièrement couvert par le carreau vernisse et la maïolique).
Kouhna Ark (signifie «une vieille forteresse» ) – la citadelle; se trouve a l’intérieuredans de la ville de Khiva – Ichan Kala (Ouzbekistan). Jusqu’au renversement de Khanat de Khiva par les bolcheviks en 1919, Kouhna ark servait d’un des résidences de khan. L’ensemble Kouhna ark était restauré au début de XIX siècle.
La structure de l’ensemble et l’histoire de sa création
Kouhna Ark joint le mur occidental d’Ichan Kala à la bastion d’Ak-sheik-bobo. La construction Kouhna Ark a été commençait en 1686-1688 par le fils du Anouch-khan, le Arang khan. À la fin de XVIII siècle Kouhna Ark est devenue «la ville dans la ville» et était séparée d’Ichan kala par le haut mur. Autrefois la forteresse comprenait le secrétariat de khan, la salle pour des receptions, le harem, la mosquée d’hiver et d’été, l’Hôtel des Monnaies et les pieces supplémentaires : les écuries, les stocks, les atelies etc.
La place près de l’entrée de Kouhna Ark était utilisée pour les revues militaires et les batailles d’entraînement. Ici il y avait aussi une place spéciale pour l’exécution des arrêts et Zindan ( la prison) adhérant aux murs oriental de Kouhna Ark. L’entrée au palais était protégée. Seulement quelques constructions restèrent d’autrefois : les portes orientales avec une pièce pour les gardiens; la bastion d’Ak cheik bobo; Kourinichkhana – la pièce pour les receptions et l’enregistrement des gens; les mosquées d’été, d’hiver et le harem.
La cellule Ak cheik bobo- l’habitation de Ak cheik-Bobo, le maitre du cheik Mukhtar Vali, plus tôt jouait le rôle de tours pour surveiller les alentours de Khiva, ici on stockaient la poudre.
Le premier bâtiment – Kourinichkhana était construit en 1686-1688 par Аrang khan et est détruit au milieu de XVIII siècle, pendant l’invasion des Perses. Le bâtiment moderne est érigé en 1804-1806 par le Iltouzar khan. L’ovan de Kourinichkhana était couvert par la maïolique pendant l’administration d’allakouli khan. Kourinichkhana comprend de quelques piece : la cour ouverte, aivan, la salle avec le trône et les pièces latérales dans la partie occidentale de la cour (le trésorie du khan, la pièce pour la conservation des manuscrits, la pièce pour le repos). Au milieu de la cour il y a une platforme ronde, où il y avait une yourte, dans laquelle le khan accuillait les ambassadeurs des pays voisins. Le trône du khan se trouvait près du mur sud de la salle du trône; maintenant ce trône se trouve dans le musée de Moscou. Il était fait en bois et est couvert par les plaques de l’argent avec l’ornement fin sculpté fabrique en 1816 par le maître de khiva Mukhammad.
Le territoire du harem à Koukhna ark était bâti pendant le le regne de Moukhammed Rakhimkhan II. Le harem se trouve dans la partie du nord de Koukhna ark . La cour est allongée de l’ouest a l’est et est bâti par les surfaces habitables -par les aivana une colonne et par les pièces a deux etage derrière eux. La dimencion total du harem : 33х62 m; la cour : 14.5х50 m.
L’Hôtel des Monnaies était construit pendant le regne de Moukhammed Rakhimkhan I. Il est construit simultanément avec la mosquée d’été et d’hiver. Les dimencion : total : 34х23 m; la cour : 16х13 m; la mosquée d’été : 7.4х13 m; d’hiver : 12,5х12,5 m; l’Hôtel des Monnaies : 14х17 le m.
Le mausolée Pakhlavan Makhmoud est un ensemble architectural à Хиве (Ouzbékistan), un des meilleures oeuvres des architectures de Khiva du milieu de XIX siècle, accompli dans les traditions de l’architecture de Khorezm avant les temps de Tamerlan.
La légende
Pakhlavan Makhmoud était le poète local des artisans simples, rendu célèbre aussi par la force héroïque, le lutteur jamais vaincus, et la capacité de la guérison des gens – medecin. Sa tombe se trouvait sur le cimetière, derrière la mosquée de Djuma. La tradition locale orale contient la description des plusieurs détails liés à la vie et les exploits de Pakhlavan Makhmoud . Des temps anciens le révèrent ici comme maitre spirituel, c’est-à-dire le protecteur saint de la ville.
Les architectes
Primordialement le bâtiment du mausolée était modeste, mais, puisque cette place s’est transformée en place populaire de pelerinage, bientôt ici on construisait les mosquées et les Khanakas, où les pelerins faisaient aussi les prières, et, en outre il y avait des autres pieces habités avec des conditions de vie nécessaires. Graduellement le mausolée s’est transformé en construction majestueuse, avec le plus grand dôme à Khiva, couvert par le carreau vernisse bleu clair, avec le Kubba étincelant doré. Pendant le le regne d’Allakoulikhan le bâtiment était orné par le revêtement en maïolique.
En 1810 le maître Adina Muhammad Murad de Khazarasp dirigeait la construction. Le revêtement de maïolique est daté de 1825, par Nour Moukhammed on construisait une autre partie de la galerie, par le fils Usto Kalandar Khivaki et Soufi Moukhammed, le fils Abdal Jabbar. L’auteur des dessins était Addoullajin, le Nadir Moukhammad a fabriqué la porte sculptée en bois en 1893-1894. La construction de l’ensemble magnifique architectural était terminé par la construction Aivan avec les colonnes sculptées dans la partie du sud-est de la cour.
L’ensemble architectural
À XVII siècle, le portail d’entrée de mausolée était construit sur la partie sud.
En 1719, quand Chergazi khan a donne l’ordre de construire la nouvelle médersa vers le sud du cimetière, s’orientait vers le Mausolée Pakhlavan Makhmoud
En 1810, après la marche réussie sur Koungrad, Moukhammed Rakhimkhan I a décidé radicalement de changer l’ensemble. Plus tard construction a duré a l’est et partiellement au sud du mausolée initial.
Dans la crypte familiale construit vers le mausolée on a commencé à enterrer les membres de la famille de khan.
Le pierre tombal en marbre d’Abdoulaziz khan (1663) et de Anouch-khan (1681) étaient transférés à un nouveau bâtiment et étaient établis dans la niche de Moukhammed Rakhim khan.
En 1913 dans la cour on a construit le bâtiment à un étage. Les cryptes funèbres de la mère et les fils du Isfandyar khan, et aussi la place pour l’enterrement de Isfandyarkhan se trouve dans les pièces de ce bâtiment.
Selon une version, Isfandyar, est mort en dehors d’Ichan Kala, dans le palais de Nurullabaja, et n’était pas enterré dans la place préparée pour lui.
Son fils Temur Gazi, qui etait empoisonné, ne pas enterré ici, mais dans le mausolée Said Makhiriy Jahan, à côté du grand-père.
Tach Khavli – l’ensemble de palais à Khiva (Ouzbékistan), le palais principal des khans de Khiva.
La construction
Le palais se trouve dans la partie orientale de Khiva est construit par Allakouli Khan. La construction du palais a duré environ 8 ans, de 1830 jusqu’à 1838. Premier construction le harem, puis les salles d’hôte – la place pour les accueils officiels, et le dernier – Arzkhona, la cour de récéption. Mounis écrivait que les meilleurs architectes de ce temps étaient empaillé puisque refusaient de construire le palais en deux années. Maitre Khalandar Khivaki a mit 8 ans pour sa construction.
L’architecture
Dans la partie sud de la cour du harem sont construits quatre petit Aivans (en fr l’Ovan), qui étaient destinés pour les femmes du khan (selon la Charia l’homme pouvait avoir pas plus quatre femmes), cinquième Aivan, richement orné servait comme la pièce pour le khan. Dans chaque Aivan il y a une surface habitable pour les serviteurs. Le harem est construit conformément à la tradition de Khorezm de la présentation de la moitié féminine (cour interieur). Certains détails de la forteresse défensive assistent dans le design du palais que correspond à la manière de vivre solitaire des habitantes du harem. Après le harem s’était construite les salles d’hôte (Ichrat khavli). La cour carrée avec les platformes ronde pour les yourtes sont entièrement entourre par les pièces et les Aivans. Le sud de l’aivan servait pour les cérémonies et les accueils des envoyées. L’aivan de la salle d’hôte est orné de la maïolique avec le plafond clair orné de petites tours de deux côtés. Arzkhona (la cour des reception) se trouve dans la partie du sud-ouest de Tachkhavli. Elle est deux fois plus grande que la cour d’hôte. Comme la cour d’hôte, Arzkhona est ornée par la maïolique. Le travail était fait par le maître célèbre Abdullo, surnomme le Génie. Ce maître ornait toutes les cours de Tach khavli.
Le gouverneur
La période d’administration d’Allakouli Khan se caractérise par un fort pouvoir du khan, la politique fructueuse internationale et le progrès dans le commerce avec la Russie. Et comme le résultat, il y a une possibilité richement d’orner les bâtiments. Le palais d’Allakuli-khana, une exemple architectural de XIX siècle. De petits travaux de restoration n’ont pas changé l’originalité du palais, et il peut être considéré tout à fait comme le musée d’architectures de Khiva de ce temps. Les dimencions: total : 80х80 m; le harem : 80х42 m; la cour du harem : 49х15 m; la cour d’hôte: 43х36,5 m; Arzkhana : 35х40 m.
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