Samarcande (de l’ouzbek: Samarqand, Самарқанд – Samarqand) – deuxième ville de l’Ouzbékistan par son importance, le centre du province de Samarkand (viloyat).
Dans la littérature antique est connu, comme Marakand (de greque.), Semiskent (de Turk.), Smarkanva ( de Chine.). Après la prescription des annees, l’opinion commune sur l’origine du nom de la Ville – n’existe pas.
Plus de deux mille ans, la Ville était le point clé sur la Grande Route de la Soie.
La population est de 366 mille habitants, ce sont particulièrement les Tadjiks, les Uzbeks, Russe, les Juifs , Iraniens.. Les Communautés d’ancien Samarcandiens se trouve à New York, Los Angeles, Jérusalem, Tel-Aviv, Moscou et Berlin.
La situation : 702 mètres au-dessus du niveau de la mer. À 2001, Samarkand était inclue par UNESCO dans la liste de l’héritage Mondial.
L’histoire
Samarkand – un des villes les plus anciennes du monde, est fondé environ 700 ans avant notre ère. Étant la capitale de l’Etat de Sogdian, était envahie par Alexandre Macedoin en 329 av n.ére. (voir. Arfosyab).
Ancien nom de la ville – Marakanda.
De VI jusqu’à XIII siècles la ville était plus grand que même Samarkand moderne. À de différentes périodes, il se trouvait sous le contrôle des Perses, les Grecs (selevkides), Chinois, les Arabes et les Turks orientaux. En 1220 est pillé et est presque entièrement détruit par les Mongols. Pendant le reigne de Timour (Tamerlan) et Timourides (1370-1499) Samarcande était la capitale de son empire.
Au temps du khanat de Boukhara était le centre princier (Bek). Reçoit une nouvelle renaissance pendant le khanat de Boukhara de 1612 à 1656, quand le gouverneur de Samarcande etait nommé Bakhadour Yalangtouche. À 1868 était occupé par les troupes russes et rataché à l’Empire russe, est devenu le centre de la circonscription de Zerafchan (de 1887 – de region de Samarcande).
Après la révolution d’octobre la ville a fait partie de l’autonomie de Turkestan. En 1924-1930 Samarcande était la capitale d’Ouzbekistan USR; En 1938 – le centre de la region.
Les curiosités principales
Le « coeur » de Samarkand ancien en Ouzbékistan. Le nom se traduit comme «la place sablonneuse». On dit que le sable était etanché pour pour cacher le sang des victimes des executions publics, qui soi-disant ont eut lieu sur cette place jusqu’au début de XX siècle. On dit encore que Reghistan était la place, où Tamerlan exposait les têtes des victimes, qui étaient piqués sur les pivots, où le peuple se réunissait pour écouter les déclarations royaux, avant la lecture de qui sonnaient hautement les tromps en cuivre. Il faut se rappeler cependant qu’au temps de Timour, qui est mort en 1405, sur cette place n’était pas un des bâtiments existant à présent, étant considéré comme les chef-d’oeuvres de l’architecture orientale
L’ensemble de trois médersas est l’exemple unique de l’art l’urbanisme, c’est le modèle remarquable de la présentation architecturale de la place principale de la ville.
Dans la composition de l’ensemble trois médersas : la médersa Oulougbek(1417-1420), la médersa le Cher Dor (1619-1636) et la médersa Tilla Kori(1646-1660). La médersa cette un etablissemnt d’enseignement superieur pour les musulmans.
La médersa Oulougbek
La médersa Oulougbek se donne vers la place par le portail majestueux avec l’arc en ogive. Sur les angles se trouve les hauts minarets. Au-dessus de l’arc d’entrée le panneau de mosaïque avec l’ornement géométrique. La cour a la forme carrée, il y a une mosquée, les pièces de conférence et, selon le périmètre les pièces habitées, où les étudiants vivaient. Sur les axes de la cour se trouve les niches profondes. Primordialement la médersa Oulougbekétait le bâtiment à un étage avec quatre dômes au-dessus des auditoires angulaires. C’était un des meilleures universités de l’Est musulman de 15-ème siècle. Le célèbre poète, le savant et le philosophe Abdourakhman Djami, a fait ses etudes ici. Oulougbek lui-même donne les cours ici, pendant le pendant le reigne de qui, la médersa était le centre de la science laïque. La place de Registan se trouve au centre de la partie historique de Samarkand. Le mot «Reghistan» se traduit, comme «la place sabloneuse». Reghistan des temps anciens c’était – le Forum, la place, où fonctionnaient de grandes foires, les marchés d’artisan. Ici on faisait de grandes activités urbaines.
Sur la place Reghistan se trouve harmonieusement trois bâtiments : la Médersa Oulougbek (1417 – 1420), la Médersa le Cher – dor (1619 – 1636), la Médersa Tilla kori (1647 – 1660).
En 1417 le petit-fils aimé d’Amir Timour – Oulougbek a commencé ici la construction de la médersa portant son nom. Ce le deuxième de la médersa construite par Oulougbek, et la medersa porte son nom.Premier médersa d’Oulougbek se trouve à Boukhara, mais troisième – dans la ville de Gijdouvane.
La médersa Oulougbek à Samarkand était dès le début l’etablissemnt supérieure, l’université originale du moyen âge. Primordialement la médersa avait 50 cellules, à qui résidait plus de cent étudiants apprenant ici. Dans la medersa enseignait célèbre poète – mysthique, Abdurakhman Djami. Selon les sources écrites, dans la médersa donnait le cours les mathématiciens Oulougbek lui-mêmes, ainsi qu’autres célèbre savants, les prochs de gouverneur savant.
À 17 siècle sur la place de Reghistan on a construisait encore deux bâtiments la médersa de Cher Dor et Tilla kori. Ils se distinguent par les dimencions considérables et le luxe de la finition, bien que selon les dignités d’art-architecturales cèdent quand même à le prototype – le monument immortel de l’architecture – la médersa Ouloughbek. La médersa de Cher Dor, c’est-à-dire «porteur de lion», se trouve en face de médersa Ouloughbek. Elle était construit en 17 ans sur l’ordre de gouverneur de Samarkand émir Bakhadur Yalangtush
Dix ans après la construction de Cherdor, le même gouverneur a commençait la construction de la médersa Tilla Kori fermant Reghistan du nord. Tilla Kori dans la traduction signifie «le trvail de l’or». Interieur est richement decoré avec l’or mussif. Cette médersa, principalement servait comme l’école, et jouait le rôle de la mosquée.
La médersa le Cher Dor
À 17 siècle le gouverneur de Samarkand Bakhadour Yalangtouch a ordonné de commencer la construction de la médersa de Cher Dor et la médersa de Tilla Kori. La médersa Cher Dor (porteur de lion) était construite par l’architecte local Abdouljabar. La finition de la médersa pas assez recherchée comme les constructions du 15-ème siècle – » l’âge d’or » de l’architecture de Samarkand. Néanmoins, l’harmonie des grandes et petites formes, le dessin élégant de la mosaïque, le caractère monumental, la netteté de la symétrie – met tout la médersa sur le même plan avec les meilleurs monuments architecturaux de Samarkand.
La médersa Tilla Kori
La médersa Tilla Kori qui se traduit comme «travail de l’or», est construite dix ans après la Médersa Cher Dor. La medersa etait non seulement lieu d’études, mais aussi utilisait comme la mosquée principale de la ville. La médersa comprend la façade à un étage principale et la cour vaste avec quatre niches le long de l’axe, bâti selon le périmètre petit celules. Dans la partie occidentale de la cour se trouve le bâtiment de la mosquée. La salle principale de la mosquée est richement ornée avec l’or.
Le mausolée des Cheybanides
Vers l’est des médersas Tilla Kori se trouve le mausolée des Cheybanides représentant l’entassement des épitaphes, le plus vieux de qui se rapporte à XVI siècle. Le fondateur de la puissante dynastie des Cheybanides était le petit-fils d’Abdoul Khayr, Moukhanned Cheybani, qui est en 1500, avec le soutien de Khanat Chagatay, s’installés alors à Tachkent, a envahi Samarkand et Boukhara, ayant renversé les derniers gouverneur de la dynastie Timourides. Après cela Cheybani s’est adressé contre les bienfaiteurs et en 1503 s’est emparé de Tachkent. En 1506 il s’est emparé de Khivaet en 1507 a attaqué Le Merve (Turkménie), la Perse orientale et l’Afghanistan occidental. Le sCheibanides ont arrêté l’arrivée des Sefevides, qui sont en 1502 ont envahi Akkoyunlu (Iran). Moukhammed Cheybani était le leader des Uzbeks nomades. Pendant les années ultérieures ils se sont installés solidement dans les oasis de l’Asie centrale. L’irruption ouzbeke de XVI siècle était le dernier composant de la nation moderne ouzbeke.
Le dôme commercial Tchorsou
Derrière la médersa de Cher Dor se trouve le dôme commercial Tchorsou. Maintenant il est restauré. La présence sur cette place du dôme commercial confirme que Reghistan était le centre commercial du Samarkand médiéval. Pendant la période soviétique toute la place était restaurée. Pour restaurer la hauteur complète du bâtiment on nettoyait la couche de trois mètres du sol.
Le monument architectural de 1399-1404 à Samarkand, grandiose mosquée de Tamerlan (Timour) (aujourd’hui en ruines), richement orné par les carreaux, le marbre sculpté, hypothétiquement appelé ainsi en honneur de la femme aimée Tamerlana de son harem et construit sur l’ordre de Tamerlan après son incursion sur Delhi ( apres sa marche contre l’Inde en 1399).A cote se trouve la medersa de Saroy Moulk Xanim et s’est conservé le mausolée Bibi Khanim avec le décor en carreaux de majolique.
Le mausolée du conquérant asiatique de Tamerlan (aussi connu comme Timour) à Samarkand (l’Ouzbékistan moderne).
Le mausolée le Guri-Amir (14 siècle).
Le tombeau de famille de Timour et les héritiers de l’empire, était erige dans la partie sud-ouest de la ville en 1404. La mosaïque composee des briques emaillees de bleu clair et sombre, ornent les murs et le tambour. L’ornement géométrique de mosaïque étincelle vivement au soleil.
Les travaux de restauration étaient commencés en 1967; les dômes extérieurs et la glaçure étaient restaurés jusqu’à cela, dans les années 1950. À l’intérieur du mausolée il y a des pierres tombales faites en marbre et onyx, la dalle funèbre au-dessus du tombeau de Timour est un grand morceau de néphrite. La tombe reelle se trouve en bas, dans la crypte sous le mausolée. Ce chef-d’oeuvre de l’architecture d’Asie Centrale occupe une importante place dans l’histoire de l’architecture mondiale islamique. Le Guri Amir a servi du prototype pour les monuments connus de l’architecture de l’époque des Grand Mogoles : le mausolée de l’empereur Homeyun a Delhi et le mausolée Taj Mahal a Agra, construit par les descendants de Timour qui ont regne dans le temps en Inde du nord.
L’histoire
La construction du mausolée commencé en 1403, était liée à la mort subite de Muhammad Sulton, l’héritier direct de Temour et son petit-fils preferé. Un autre petit-fils de Timour,Oulougbek a terminé la construction.
En traduction du tadjik le Guri Amir signifie «la tombe du roi». Pendant le conseil d’administration de Timour le mausolée est devenu la crypte familiale de la dynastie timouride. Dans cet ensemble architectural se trouvent les tombes de : Тimour, ses fils Chohruh et Мirranchoh, ses petit-fils Oulugbek et Muhammad Sulton. Le maitre spirituel de Timour, Mir Said Baraka a obtenu egalement l’honneur d’être enterré dans ce mausolee.
Le mausolée était construit dans la partie du sud-est de Samarkand médiéval, comme le complément a l’ensemble, érigé à la fin du 14-ème siècle sur l’ordre de Muhammad Sulton. À présent s’est gardé seulement les fondements de la médersa et de khanaka, le portail de l’entrée principale et une partie d’un de quatre minarets. D’apres la composition des premiers bâtiments, Muhammad Sulton voulait creer un centre de la formation islamique, et non un ensemble funèbre. Cependant plus tard la volonté de son grand-père impérieux a donné une autre importance à l’ensemble dont le centre de l’ensemble est devenu le mausolee.
Les particularités architecturales
L’architecture et la finition de l’arc du portail principal de l’ensemble Muhammad Sulton sont accomplie par le maître Muhammad bini Mahmud Isfahoni. L’arc du portail est revêti de la brique sculptée et la mosaïque multicolore.
Extérieurement le Mausolée le Guri Amir est un bâtiment unidome avec la crypte. Il est connu par la simplicité de la structure et le caractère monumental solennel de l’architecture. Le bâtiment octaèdre du mausolée porte sur lui-même le tambour cylindrique couvert par le dôme immense bleu clair à nervures. La partie extérieure du mur est arrangée par les carreaux bleu – clairs et blancs unis dans l’ornement géométrique et épigraphique au fond des briques de la couleur en terre cuite. Le dôme est de la couleur bleue claire avec les prises profondes et d’enrelecements blancs. Le diamètre du dôme est de 15 mètres, la hauteur 12,5 mètres. De grandes saisies donnent au dôme l’éloquence étonnante.
Pendant le regne d’Oulugbek on a fait une galerie l’entrée au mausolée.
L’iterieur du mausolée est un grand local haut avec les niches profondes selon les parties et une diverse finition d’art. Dans la partie inférieure le panneau est en carreau d’onix couvert des bordures élégantes. Au-dessus du panneau la corniche de marbre est en forme de stalactite. La surface des murs est ornée des fresques d’albâtre, l’arc et le dôme intérieur sont couvert par les saillies en relief des papiers – mâchés, revetues des peintures et la dorure. Les épitaphes dans le local principal du mausolée, sont seulement les décors, les épitaphes reelles se trouvent dans le sous-sol du mausolée.
Toutes les grandes acquisitions des maîtres de Samarkand et le Moyen-Orient ont été appliquées dans la présentation magnifique du mausolée. L’ensemble le Гур-émir est l’exemple du nouveau style synthétique de l’architecture de l’Asie centrale le début du 15-ème siècle.
Pendant le reigne d’Oulougbek sur la tombe de Tamerlan on installait la pierre tombal sombre – néphrite verte foncée. Autrefois cette pierre servait de la place d’adoration dans le palais des empereurs Chinois et comme le trône de Кebek Khan (descendant de Tchingizhan). À côté de la tombe de Timour on dispose les épitaphes en marbre de ses fils Miranchakh et Chakhroukh, et ses petit-fils Moukhammad Sultan et Oulougbek. Ici est enterré le maitre spirituel de Tamerlana. En 1941 les tombeaux dans la crypte on été ouvrert et les renseignements historiques sur l’aspect de Timour, sur la mort violente d’Oulougbek, sur l’authenticité des tombeaux d’autres Timourides ont été confirmés.
Les curiosités voisines
Certain visite le mausolée Gour-émir, le mausolée Roukhabad et le mausolée Aksaray, comme un ensemble à cause de leur proche situation.
Le monument de l’architecture médiévale à Samarkand (Ouzbékistan). L’ensemble des constructions memorial de culte XIV-XV siècles avec le décor de la céramique multicolore. Se compose de 44 constructions successivement construit au cours de ХIV-ХV siècles.
La planification
L’espace ouvert devant le mausolée «Kazi Zade Roumi» et le passage étroit bâti des deux parties par les mausolées des temps de Timour : l’Emir Zade (1386),«Touglou Teguin »,«Chadi Moulk Aka»(«Tourkan aka») (1371-1372) et « Chirin Beka Aka »(1385-1386). Mieux se conservé le mausolée Chadi Moulk aka (1372) et sa mère, la soeur Timour – Tourkan aka. Les façades principales de ces monuments sont richement décoré. Le mausolée octaèdre s’en distingue avec les baies ouvertes sur les coté, orné par la mosaïque de des briques vernissé, probablement, primordialement (a la première moitié XV s.) etait couvert par le dôme sur un haut tambour cylindrique.
Le passage long entre les mausolées sépare par un Chartak une cour charmante ombragée fermée par le mausolée de « Touman- ака » (debutde XV s.) et les mausolées du temps avant Timour – «Khodja Akhmad» et le mausolee de Koutloug aka1360-1361 , presque rivalisant par la beauté des revêtements. La porte avec la date de 1404-1405, orné par la sculpture et primordialement incruste avec l’ivoire, conduit de la petite cour à la mosquée XV s. et vers le mausolée le plus sacré de l’ansamble Koussam ibn Abbas.
La dernière construction c’est l’entrée principale à la crypte de Chakhi Zinda, qui termine tout l’ensemble. L’inscription sur l’entrée principale annonce : «cette construction majestueuse est créée par Abdoullazizkhan – le fils d’Oulougbek Guragana, le fils de Chakhroukh, le fils de l’Émir Timour Gouragan dans l’année 838» (1434/35 ).
Les mausolées
D’autres constructions
Tchartak – passage arco-coupole, le mausolée, la mosquée
Le mausolée Roukhabad
Roukhabad (14 siècle) est un petit mausolée, auquel, comme on dit, se trouvent les cheveux du prophète Mahomet. Dans la médersa sans étages sont setrouve les artisans artistiques et les magasins. La mosquée fonctionnant confine à la médersa.
Le mausolée Aksaray
Le mausolée Aksaray (15 siècle) se trouve dans la rue calme derrière le Gour-émir. Est restauré de l’argent des donnations en 2007 et à présent ouvert pour les touristes. Dans le mausolée il y a quelques tombeaux, personnalités des personnage reste inconnue. C’est hypothétiquement les conseillers, les adjoints plus proches de Tamerlan.
Les légendes
En 1740 le chah de Perse Nadir Chah a volé la pierre tombal de Tamerlan. Il s’est brisé pour deux parties, et Nadir Chah a ete poursuit par des malheurs. Ses conseillers lui ont conseillée de remettre la pierre tombal a sa place légale.
En 1941 les archéologues Soviétiques ont ouvert la tombe. Le sculpteur-anthropologue M.Gerasimov a pu restaurer les traits du visage de Tamerlan selon les restes de son crâne. En plus on confirmait l’information que Tamerlan était grand pour le temps (son taille faisait près de 180 cm) ainsi que ce s’est confirmé qu’il boitait très fortement. Par la suite l’authenticité de l’information historique en ce qui concerne le meurtre d’Oulougbek et l’authenticité des autres tombes s’est confirmée aussi. Cependant l’intervention des archéologues russes dans la chose sacrée a attiré aussi la malédiction, et très bientôt l’armée nazie a envahi la Russie. L’inscription sur la pierre tombale annonce : «Chacun, qui troublera ma paix dans cette vie ou à suivant, sera soumis aux souffrances et périra».
Un des observatoirs les plus considérables du moyen âge, construit dans les alentours de Samarkand, sur la colline Kouhak, par Oulougbek en 1424-1428. Les vestiges de l’observatoir étaient decouvert et étudiés par l’archéologue V.L.Viatkin en 1908.
En 1948 l’expédition de l’Institut de l’histoire et l’archéologie de l’Académie des Sciences d’Ouzbekistan URS a fait les études plus détaillées des ruines de l’observatoir.
L’observatoir était construit en forme du cylindre, avait trois étages de la hauteur 30,4 m, le diamètre 46,40 m, est orientée du nord au sud et contenait le goniomètre grandiose en marbre – le sextant (ou le quadrant du tel point de vue se tenait l’académicien V.P.Cheglov. Sa motivation était ce que le quadrant occupe la grande partie de la circonférence qui donne la possibilité aux nouvelles observation du ciel stellaire. À la confirmation de ce point de vue de V.P.Cheglov amenait les considérations que la préférence au quadrant au profit du sextant pouvait être rendue par le constructeur de l’outil seulement pour considérations de l’économie. Ouloughbek qui etait le gouverneur du pays, n’avait pas des problemes de moyens. Se conservé seulement la partie souterraine de sextante – l’instrument principal de l’observatoire. Par le diametre de 40,21 m, on mesurait les coordonnées du Soleil, de la Lune et les planètes à leur passage dans le méridien. Le sextant est decouvert pendant les fouilles et bien conservé. C’est arc faisait la sixième partie de la circonférence (600).
Le sextante est limité par les deux barrières revêties du marbre. Le sextant est exactement orienté vers le méridien. Sur chaque carreau de marbre est gravé les degré du cercle, les divisions et les chiffres. L’intervalle à 70 cm de long des barrières sous la terre correspond à chaque degré conduisent les escaliers en brique.
Les observations azimutales étaient produites en cercle horizontal en haut de bâtiment et d’autres instruments, qui ne se sont pas conservés. Ouloughbek a determiné les comptes de la durée de l’année stellaire. Les differences avec les données modernes font moins d’une minute.
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